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C’est l’une des principales leçons de cette crise : compte tenu de ses nombreuses lacunes (surstocks, mauvaise anticipation de la demande, faible qualité de coupe, etc.), la production de masse n’est plus le modèle de référence. Les enseignes qui s’en sortent aujourd’hui le mieux, telles que Reformation, Le Slip ¹ó°ù²¹²Ôç²¹¾±²õ, Bonobos et Sézane, privilégient la production à la demande. En fabriquant leurs produits à la réception des commandes ou en quantités limitées, ces entreprises de mode peuvent ainsi éviter les surstocks et réduire leurs déchets. Ce modèle place les consommateurs et leurs besoins au cÅ“ur du processus de production.

En fabriquant leurs produits à la réception des commandes ou en quantités limitées, ces entreprises de mode peuvent ainsi éviter les surstocks et réduire leurs déchets. Ce modèle place les consommateurs et leurs besoins au cœur du processus de production.

La plupart des grands distributeurs ont rapidement adopté ce modèle, mais certains hésitent encore car ils ont peur de devoir y consacrer beaucoup d’argent, de temps et d’efforts. Il existe pourtant un moyen infaillible pour réussir. Il suffit de choisir les bonnes technologies, afin d’automatiser le processus de la réception des commandes jusqu’aux étapes de découpe finales. Les entreprises pourront ainsi profiter des nombreux avantages de la production à la demande, en évitant tous les problèmes potentiels. Mais il n’est pas toujours facile de bien choisir. Il sera important d’associer des technologies et solutions de découpe offrant des fonctionnalités conçues spécifiquement pour faciliter le processus de production à la demande.